In that thesis, the following is mentioned:
"La frontière court à mi-pente du Chomo Lhari, sur ses flancs=
 sud 
puis est. Au nord du sommet, elle prend une direction plus ouest-est 
le long du Grand Himalaya, avant de le quitter pour suivre la crête 
d'une chaîne plus septentrionale, emprisonnant en territoire 
bhoutanais le cours supérieur du Komo chu et les tributaires 
méridionaux du Fumayou tso. La jonction des chaînes du Grand H=
imalaya 
et du Ladakh a provoqué un «  gonflement  » des très hautes t=
erres, 
qui coïncide avec la proximité de sommets élevés =
: Kula Kangri (7 600 
m) et Kankar Punsum (7 550 m) que la frontière évite en laiss=
ant le 
premier à l'ouest et le second à l'est, courant à mi-p=
ente avant de 
séparer le cours supérieur du Lhobrak chu de son écoul=
ement 
bhoutanais, le Kuru chu, à la hauteur de la bourgade de Dogsar, en 
amont des gorges qu'emprunte la rivière pour franchir le Grand 
Himalaya. C'est cette section de la frontière dont le gouvernement 
chinois remet en cause le tracé, le repoussant plus au sud afin 
d'inclure en territoire tibétain les gorges du Lhobrak chu, soit une=
 
revendication d'environ 500 km2. L'importance de la revendication 
peut paraître surprenante dans un secteur où les limites de fa=
it sont 
parfaitement connues, même si elles ne sont pas définies par t=
raité. 
Mais la revendication s'apparente à celles qu'ont fait les Chinois 
sur d'autres segments de dyades, comme par exemple à la hauteur de l=
a 
Shaksgam, ou vis-à-vis du Népal, et qui présentent pou=
r eux des 
avantages tactiques ; c'est peut être aussi un moyen de faire oublier=
 
d'autres revendications - celles là territoriales - que pourraient 
réactiver les Bhoutanais, qui concernent les enclaves qu'ils 
possédaient jusqu'en 1959, dans les environs du lac Manasarovar, et =
supprimées de fait par l'occupation chinoise du Tibet [309]."
The note that goes with it [309]:
"Villages de Darchhen, Nyanri gompa, Dengmar, Rimpung, Doba au pied 
du Kailash ou près de Gartok, accordés au XVIIè si&egr=
ave;cle par le roi du 
Ladakh et administrés jusqu'en 1959 par un officier monastique 
bhoutanais."
And this part:
"Pourtant, si son émancipation diplomatique lui permet de prendre de=
s 
positions fréquemment différentes de celles de l'Inde (notamm=
ent vis-
à-vis du Cambodge ou de l'invasion de l'Afghanistan par l'armé=
;e 
rouge), le Bhoutan ne tente aucune approche réellement solitaire fac=
e 
à la Chine et la normalisation de ses frontières avec son voi=
sin du 
nord demeure sous le contrôle étroit, mais indirect, de l'Inde=
. Entre 
les deux pays, le contentieux frontalier est complexe : c'est 
l'absence d'un traité précisant le tracé de la dyade q=
ui permet aux 
chinois de revendiquer 680 km2 de territoire dans le nord-est du 
pays, ou d'occuper entre 1959 et 1962 un certain nombre de pâturages =
à la périphérie de la vallée de la Chumbi, ou e=
ncore d'occuper dès 
1959 les enclaves dont disposait le Bhoutan au Ngariskorsum depuis 
près de 300 ans."
So you don't have to plough through all that...
Peter S.
 --- In BoundaryPoint@y..., <marcelmiquel@n...> wrote:
> >Does anyone have any information on the enclaves that Bhutan 
> >controlled in Tibet before the PLA took those (enclaves) over?
> 
> I'm not sure, but if you go to the message 6154, thre's a link to a 
> large pdf file, a french thesis about boundaries where I think 
there 
> are several references to the buthanese enclaves. Good luck.
> 
>  Marcel
> 
> 
> __________________________________________________________________
>  ¿Quieres que cada vez que te llamen al móvil suene "TORERO"?. Si 
> tienes un teléfono Nokia sólo tienes que enviar un SMS con el texto 
> MTV102245 al número 5666. Si tienes un móvil diferente o quieres 
> bajarte otras melodías de la MTV visita 
http://www.vizzavi.es/Melodias 
> Coste del mensaje 0,9  impuestos indirectos no incluidos.